Les modes de pêche autorisés
En 1re catégorie.
Dans les eaux non domaniales, une ligne pour tous à l'exception des membres des Associations agréées pour la pêche et la protection du milieu aquatique détentrices du droit de pêche, pour lesquels deux lignes au plus, sont autorisées.
En 2e catégorie.
4 lignes au plus, munies chacune de 2 hameçons au plus.
L'utilisation de fagots pour la pêche à l'écrevisse américaine uniquement est limitée à 6 fagots.
Pour toutes les catégories, les modes de pêche suivants sont autorisés :
La vermée, six balances à écrevisses, une carafe (ou bouteille) d'une contenance de deux litres, pour la pêche des vairons ou des poissons servant d'amorce.
Les lignes déposées à proximité du pêcheur. Elles sont montées sur canne et munies de deux hameçons ou trois mouches artificielles, au plus.
Les lignes de traîne ne sont pas autorisées, mais le pêcheur a la possibilité de déplacer personnellement sa barque à l'aide de rames sans relever les lignes appâtées de poissons vifs.
Ne sont pas autorisés, les appâts et amorces suivants : les œufs de poissons naturels, frais, de conserve ou mélangés à une composition d'appâts ou artificiels, dans tous les cours d'eau.
Les poissons des espèces dont la taille est fixée dans l'arrêté ainsi que les poissons figurant dans la liste des espèces protégées sur l'ensemble du territoire national, dont la vandoise (arrêté du 8 décembre 1988).
Dans les eaux de 1re catégorie, les asticots et autres larves de diptères (vers de vase…)
Le nombre de captures autorisées
Salmonidés (truite ou ombre commun) 6 par jour, chiffre retenu pour la préservation des espèces. Mais ce chiffre peut varier dans certains départements de même pour la taille minimale généralement fixée à 0,23 m. La taille peut être alors fixée à 0,25 m.
Se renseigner auprès des Fédérations départementales.
Brochet : 0,50 m dans les eaux de 2e catégorie.
Ombre commun 0,30 m, sandre 0,40 m dans les eaux de 2e catégorie et écrevisses 0,09 m.
sources :
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/les-droits-et-les-devoirs-des-pecheurs-suite